Point de vue

Ces choses que l’on ne sait qu’une fois qu’on a deux enfants

Katja Fischer
1/11/2022
Traduction : Stéphanie Casada

Après trois ans de maternité, j’étais devenue experte. C’est du moins ce que je croyais. Puis le deuxième bébé est arrivé et j’ai constaté, qu’en réalité, un seul enfant, c’est presque comme ne pas en avoir, et que deux enfants, c’est comme en avoir trois.

Quand mon premier enfant est né, mon monde s’est écroulé. Tout était nouveau, tout était excitant, tout était magique. Mais en même temps, cette nouvelle vie était incroyablement fatigante et intense.

Puis le deuxième bébé est arrivé. Been there, done that – rien de bien sorcier, non ?

1. Chaque enfant est différent

2. Être encore plus fatigué·e, c’est possible

Pour les nuits, les filles étaient aussi complètement différentes. L’une avait du mal à s’endormir, l’autre à faire ses nuits. Et à un moment donné, je ne dormais presque plus du tout. L’épuisement avait atteint son summum. À toutes les questions allant de « Comment vas-tu ? » à « Avez-vous déjà quelque chose de prévu ce week-end ? », je n’avais qu’une seule réponse : « J’aimerais juste pouvoir dormir ! »

3. Il faudrait avoir cinq mains

Pendant mon premier congé maternité, j’ai vécu selon le principe d’une chose après l’autre. Je donnais le sein à ma fille, puis elle dormait, j’avais alors le temps de prendre une douche, de vider rapidement le lave-vaisselle avant qu’elle ne se réveille, je la mettais dans la poussette, j’allais faire des courses, je l’allaitais de nouveau, je la recouchais et je trouvais parfois même quelques minutes pour faire une sieste. Une chose à la fois.

4. Le travail augmente de manière exponentielle

Pendant que j’écris cet article, le linge sale est en train de s’entasser... La montagne de linge d’une famille de quatre personnes est si grande qu’elle mérite un paragraphe à part entière.

5. La montagne de linge devant la tour de lavage grandit

6. Désormais, plus de temps pour rien

Alors que les tâches ménagères à la maison semblent avoir décuplé, le temps semble s’être évaporé. Après la naissance de ma deuxième fille, un « pourrais-tu encore vite... » me donnait des bouffées de chaleur. « Non, je n’ai pas le temps de passer un petit coup de fil ou d’envoyer un mail rapidement. Je suis contente de pouvoir aller aux toilettes sans avoir d’enfants à mes basques » (plus d’informations au point 8).

7. Le couple forme désormais une équipe

8. Les toilettes sont le dernier lieu sacré

9. Un des enfants reçoit toujours moins d’attention

10. Je suis plus sereine

Photos : Shutterstock

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Maman d'Anna et d'Elsa, experte en apéritifs, passionnée de fitness en groupe, aspirante ballerine et amatrice de potins. Souvent multitâche de haut niveau et désireuse de tout avoir, parfois chef en chocolat et héroïne de canapé.


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