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Présentation de "Doom the Dark Ages" : Un tank plutôt qu'un acrobate volant

Philipp Rüegg
31/3/2025
Traduction : traduction automatique

Le Doom Slayer de "Doom : The Dark Ages" ressemble davantage à l'armure de chair du bon vieux temps. C'est avec cette arme que j'ai affronté des hordes de démons lors d'un événement en avant-première.

La super arme des dieux

Même si tuer des démons est le passe-temps favori du Slayer, il ne semble pas le faire tout à fait volontairement. Grâce à une mystérieuse machine, il est contraint de le faire. Ses gardiens commencent cependant à se demander si l'énergie est suffisante pour que le Slayer puisse être asservi plus longtemps.

Il faut s'habituer à ce que Doom ait une histoire avec des personnages qui parlent. Mais le peu que j'en ai vu jusqu'à présent m'a bien amusé. Je me suis déjà pris d'affection pour le démoniste en chef au visage buriné. Son armure de chair me rappelle le Dracula du film éponyme de Francis Ford Coppola.

Avec un bouclier, un charme et un canon

L'attaque d'assaut avec le bouclier permet au Doom Slayer de rester agile. Je peux rapidement couvrir de plus grandes distances et me repositionner sur le champ de bataille. C'est essentiel car, comme dans les précédents opus, le Doom Slayer a beau être la machine à tuer ultime, les hordes de démons me mettent à genoux si je ne fais pas attention.

Le bouclier fait également office de tronçonneuse. Si je maintiens le bouton correspondant enfoncé, la lame commence à tourner. Si je lance le bouclier sur des ennemis plus gros que moi, il s'enfoncera dans leur corps et les mettra hors d'état de nuire pendant un court moment.

Une gestion des ressources allégée

"Guns, lots of Guns"

Les armes sont aussi puissantes que le Doom Slayer lui-même. Il fait plus de bruit que mes enfants lorsqu'ils se lèvent à six heures du matin le week-end. Quand le Slayer saute, la terre tremble à l'impact. Hell Yeah!

Les armes à feu, le bouclier et les armes de mêlée peuvent être améliorés via des arbres de compétences pour faire encore plus de dégâts. Les trois monnaies nécessaires pour cela sont réparties dans les niveaux.

Une mise en scène épique avec beaucoup de variété

Il y a même des petites énigmes. À un moment donné, j'active des interrupteurs avec mon bouclier de tronçonneuse ou j'utilise le bouclier comme une corde pour atteindre un endroit plus élevé. Le Doom Slayer peut même plonger. Les tâches secondaires optionnelles ne ralentissent pas le rythme du jeu. Elles sont une distraction bienvenue par rapport au run-and-gun qui est par ailleurs constant.

It Slays, comme diraient les jeunes

Après trois heures de "Doom : The Dark Ages" sans pause, je dois reprendre mon souffle. C'était vraiment intense. La vision d'Id Software pour ce dernier opus fait un pas en arrière et deux en avant. Les acrobaties de "Doom Eternal" n'étaient manifestement pas du goût de tout le monde. La préquelle revient donc à ce qui faisait sa force

Le Doom Slayer est une force primaire qui traverse les niveaux sans s'arrêter. Vous l'entendez et le sentez. Les doutes qu'il puisse se cacher derrière son nouveau bouclier se pulvérisent dès le premier groupe de démons que je transforme ainsi en bouillie sanglante. De même, les armes de corps à corps complètent parfaitement les innombrables balles de tir.

Il faut s'habituer à l'histoire, mais elle s'intègre parfaitement dans le jeu. Elle est exagérée de manière appropriée, avec des personnages hauts en couleur et, au milieu, la machine à tuer ultime et sans paroles appelée Doom Slayer.

L'ajout des zones ouvertes ainsi que du dragon et du robot de combat est également bienvenu. Ma seule crainte est que les commandes soient un peu trop complexes avec les différentes attaques, blocages, etc. Mais cela sera à voir dans la version finale que je testerai dans un peu moins de deux mois.

"Doom : The Dark Ages" sortira le 13 mai sur PC, Xbox Series X/S et PS5.

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Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir de console. Ce n’est qu’avec l’arrivée du PC familial 486 que le monde magique des jeux vidéo s’est ouvert à moi. Aujourd’hui, je compense largement ce manque : seuls le temps et l’argent m’empêchent d’essayer tous les jeux qui existent et de remplir mon étagère de consoles rétro rares. 


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