
Guide
Voici 9 basiques d’été abordables
par Laura Scholz
Un T-shirt à bretelles est un classique indémodable, mais des fois, il pourrait être un peu plus sophistiqué. Grâce à ces trois astuces, en un tour de main, je transforme un marcel en un haut dos-nu et plus encore.
Il vous faut : un débardeur élastique avec une encolure (le mien a un décolleté en V). Dans l’idéal, le haut est au moins un peu plus court, sinon beaucoup de tissu s'accumule de manière disgracieuse en bas.
Comment faire : enfilez le top normalement, enlevez les bretelles et faites-les passer à l'intérieur du haut jusqu'à ce qu'elle sorte par le bas. Maintenant, tirez-les une par une vers le haut et repassez vos bras dans ces dernières. Ajustez le tissu pour que le « nœud » soit bien centré à l'avant et à l'arrière. Pour finir, drapez encore un peu le tissu en bas. Voilà, votre nouvelle brassière est prête !
Il vous faut : un débardeur quelconque et une ficelle d'au moins 240 cm de long. J'utilise deux lacets noirs de 150 cm chacun, attachés ensemble.
Comment faire : enfilez le lacet dans les deux bretelles. Passez-le tout autour de votre cou, de manière à ce que la ficelle se trouve dans votre nuque et que le débardeur soit devant vous. Il se peut que vous deviez mettre le dos du débardeur devant, pour ne pas que l’encolure soit visible. Maintenant, au niveau de la nuque, croisez les cordons (important, sinon le top ne tiendra pas), faites-les passer vous les aisselles et dans le T-shirt, sur les côtés.
Serrez le tout et nouez les cordons dans le dos. Maintenant, il ne reste plus qu'à admirer votre joli dos dans le miroir.
Il vous faut : un soutien-gorge et un débardeur. Moins le haut est décolleté, plus vous pouvez rendre le crop top court, car rien ne dépassera en haut.
Comment faire : enfilez votre top à l’envers et par le bas, de sorte que les bretelles soient en bas et l'ourlet en haut. Par-dessus le débardeur, mettez votre soutien-gorge. Ensuite, remontez les bretelles et enfilez-les normalement. Voilà, votre crop top est prêt.
A un enthousiasme sans limites pour les épaulettes, les stratocasters et les sashimis, mais peu d'indulgence pour ceux qui critiquent son dialecte de Suisse orientale.