Test de produit

SmartHalo, un nouveau petit cyclope sur mon vélo

Un petit cyclope trône depuis peu sur la potence de mon vélo. Il me guide, m’éclaire, verrouille mon vélo, suit mes trajets et m’informe des appels ou des SMS reçus. J’aurais pu me passer de toutes ces fonctionnalités et me prendre quand même d’affection pour mon nouveau compagnon.

Vous êtes quelqu’un de pragmatique? Cessez tout de suite de me lire. Si je n’avais pas un faible pour les gadgets, le SmartHalo et moi ne nous serions pas liés d’amitié. Par contre, si vous aimez surfez sur les tendances, vous allez adorer. Le petit appareil a été financé par une campagne Kickstarter, ce qui lui va à merveille. Parmi la pléthore d’objets innovants sur le marché, il se distingue par son design élégant tout en promettant évidemment de rendre votre vélo intelligent. L’entreprise montréalaise CycleLabs a amassé un demi-million de dollars canadiens et lancé son produit en 2016. Le logiciel a évolué depuis, et je me réjouis de voir si ce cyclope améliorera vraiment ma vie de cycliste urbain ouvert aux nouveautés, puisque je corresponds exactement au groupe cible. Pour moi, c’est d’abord un jouet captivant. Pour CycleLabs, «une vision à long terme avec laquelle les cyclistes amélioreront la société.» Mouais… Bel exemple de mégalomanie kickstartérienne…

Si vous voulez en savoir tout de suite plus sur les fonctionnalités de SmartHalo, faites défiler la page vers le bas. Vous y trouverez ce que j’ai testé:

  • la navigation
  • l’éclairage
  • l’alarme
  • le moniteur d’activités physiques
  • les notifications d’appels

Commençons par le commencement: le déballage et l’installation.

Voici l’appareil qui améliorera notre société, dans son emballage.
Voici l’appareil qui améliorera notre société, dans son emballage.

Je déballe et j’installe l’appli

Tout designer de produit qui se respecte apprécie les designs de style Apple. Le SmartHalo est posé devant moi, dans un bel emballage noir et blanc, sans trop d’accessoires. Éteint, il ne paie pas de mine; c’est un simple bloc à bords arrondis avec écran rond et port micro-USB sous le couvercle en caoutchouc. Les fixations, des vis, une clef Allen, des inserts en caoutchouc pour diverses largeurs de guidon, des patrons qui aident au positionnement, une «HaloKey» (surtout ne pas la perdre!) et un câble USB sont répartis dans d’autres petites boîtes en carton. L’appli sert de manuel d’utilisation. Sans elle, le SmartHalo ne fonctionne de toute manière pas. Même s’il a été conçu pour Apple, il existe bien entendu une version Android, que j’installe. Il vous faut au moins iOS9 ou Android 4.4.4, mais si vous voulez rendre votre vélo plus intelligent, vous avez sûrement un smartphone suffisamment récent.

L’appli, le cerveau du SmartHalo, est bien faite. Vous y trouverez des explications sur l’appareil et y réglerez toutes les fonctionnalités.
L’appli, le cerveau du SmartHalo, est bien faite. Vous y trouverez des explications sur l’appareil et y réglerez toutes les fonctionnalités.

Un chargement, une mise à jour, et mon cyclope ouvre l’œil pour la première fois

À peine ai-je branché le SmartHalo pour le charger que j’aperçois le premier signe de vie: une lumière verte s’allume au centre de l’écran étonnamment mat. Je vérifie que j’ai bien ôté le film de protection. Ok, ça doit être normal. Le cercle de LED sur le bord de l’écran montre l’état de charge. Les possibilités d’affichage sont restreintes: un point, un cercle et diverses couleurs. Basta. Enfin, il émet aussi quelques sons... Le SmartHalo est en fin de compte un joli miroir aux alouettes, puisqu’il puise quasi toute son intelligence de l’appli. Je dois d’abord créer un compte, à partir duquel je me connecterai au SmartHalo afin d’empêcher que quelqu’un d’autre n’y accède. La connexion entre les appareils doit pouvoir fonctionner via l’appli. Le Bluetooth est activé et le SmartHalo s’affiche sur mon smartphone, mais la connexion ne se fait pas. En consultant la FAQ du fabricant, j’apprends que je dois aussi activer la localisation. Voilà, mes appareils se sont trouvés, et le SmartHalo se met tout de suite à télécharger une mise à jour.

Le SmartHalo commence par me flatter...
Le SmartHalo commence par me flatter...
... mais l’appli donne aussi des indications utiles.
... mais l’appli donne aussi des indications utiles.

L’installation et les patrons

Grâce à ses fixations et à ses inserts en caoutchouc, le SmartHalo s’adapte à des guidons de 31,8 mm, 25,4 mm ou 22,2 mm de diamètre. Les deux pièces doivent être séparées de 4,5 cm à droite et à gauche de la potence. L’appli me guide avec des animations tout à fait parlantes. Je mesure le diamètre de mon guidon (31,8 mm) avec les patrons inclus et l’appli m’indique que je dois utiliser les quatre petites vis incluses et surtout ne rien casser. Je place les fixations en plastique autour du guidon et la pièce en métal, sur laquelle le SmartHalo sera placé, par-dessus. Je joue un peu avec les vis pour optimiser l’espace entre la moitié droite et la moitié gauche à l’aide d’un deuxième patron, je serre complètement les vis.

L’installation est facile et étonnamment bien expliquée dans l’appli. Les patrons vous aident à positionner le SmartHalo correctement.
L’installation est facile et étonnamment bien expliquée dans l’appli. Les patrons vous aident à positionner le SmartHalo correctement.

Il m’a fallu bien moins que les 15 minutes d’installation annoncées. J’ai fait tomber trois fois la clef Allen et toutes les pièces par terre et placé les fixations à l’envers au premier essai. Pourtant, malgré mes jurons et mes multiples tentatives, le tout ne m’a pas pris plus de 10 minutes. Une fois les fixations vissées, il ne manque plus que le SmartHalo. Pour l’insérer dans sa base, j’ai besoin de la HaloKey magnétique qui se fixe sur le côté du boîtier. Les vis sont à présent couvertes, et tout semble n’être qu’une seule et même pièce. Dès que j’ôte la Halokey, je ne peux plus déloger le SmartHalo. C’est l’élément crucial de ce design. La batterie est censée durer trois semaines, à raison d’une heure d’utilisation quotidienne. Ne perdez pas la HaloKey, car elle est unique. Qui a envie d’amener son vélo complet près d’une prise de courant?

Ne perdez pas votre HaloKey. Heureusement, on peut l’accrocher à un porte-clefs.
Ne perdez pas votre HaloKey. Heureusement, on peut l’accrocher à un porte-clefs.
Le SmartHalo a fière allure sur le guidon.
Le SmartHalo a fière allure sur le guidon.

La navigation, ou quand un cyclope me sert de guide

Je suis vraiment curieux de voir ce que vaut la fonctionnalité de navigation, alors c’est ce que j’essaie en premier. Je l’active pour tous les parcours de ma semaine de test. Je vois dans l’appli que le SmartHalo va chercher ses données dans Google Maps. Je peux donc me fier entièrement à la fonction de recherche et aux cartes. Heureusement, parce que le cyclope est quand même censé me guider à travers toute la ville, et il faut qu’il connaisse quelques raccourcis. Avant d’enfourcher mon vélo, je dois ouvrir l’appli, activer le Bluetooth et le GPS, entrer ma destination, choisir une route et appuyer sur Start. Impossible de naviguer hors ligne. Une fois l’itinéraire démarré, je peux ranger mon smartphone dans la poche de mon pantalon. Le SmartHalo se réveille dès que je m’approche. La lumière verte au centre m’indique que je me trouve sur le bon chemin. Quand je m’approche d’un carrefour, il émet un son au volume réglable que je peux éteindre si je le souhaite. Les LED autour de l’écran commencent à s’allumer pour montrer la direction dans laquelle tourner. Plus j’avance, plus le nombre de LED allumées augmente. Une fois que j’ai atteint le carrefour, elles clignotent toutes en vert.

Je dois tourner à gauche. Les LED du SmartHalo me montrent le chemin. Son écran reste assez clair à la lumière du soleil.
Je dois tourner à gauche. Les LED du SmartHalo me montrent le chemin. Son écran reste assez clair à la lumière du soleil.

Au début, je pensais que l’avertissement sonore m’énerverait, mais on dirait qu’il active une aire de récompense dans mon cerveau, un peu comme si j’avais à nouveau 11 ans et que je collectionnais des pièces dans Super Mario. Un «Pling!» avant chaque virage. Le SmartHalo amène plus de gamification à mon quotidien et ça me plaît. Mon fils, assis sur le siège pour enfant, est de toute façon ravi. Il se met à me parler tous les quelques mètres et je ne comprends pas toujours tout de suite ce qu’il veut me dire, exactement comme le SmartHalo. Au début, je ne fais que mes trajets habituels et j’ignore le système de navigation lorsqu’il m’indique des routes différentes. Quand je ne suis pas ses conseils, mon cyclope lève l’œil au ciel – les LED clignotent à tour de rôle – jusqu’à ce qu’il ait fini de recalculer mon parcours. Il est rapide.

Je peux me fier à la fonction de recherche, puisque le SmartHalo fait appel à Google Maps.
Je peux me fier à la fonction de recherche, puisque le SmartHalo fait appel à Google Maps.
Le Bluetooth, la localisation et l’appli vident rapidement la batterie.
Le Bluetooth, la localisation et l’appli vident rapidement la batterie.

La première fois que je me laisse vraiment guider par mon cyclope, je remarque qu’il me faudra quand même un peu de pratique pour vraiment comprendre ses indications. Les 10 premières minutes, je ne tourne pas toujours au bon endroit et je me demande où le SmartHalo veut bien m’emmener. Je m’habitue petit à petit à sa manière de communiquer. Le système de navigation prend en compte certaines ruelles faciles à louper. Les LED deviennent jaunes pour indiquer les tronçons qu’il vaut mieux éviter. Bien entendu, je me comporte toujours comme un cycliste modèle. Une deuxième forme de navigation vous permet de déterminer vous-même votre itinéraire sans connaître votre destination. Le SmartHalo se change alors en compas et vous montre la direction à suivre. Les LED, rouges au départ, deviennent vertes au fur et à mesure que vous vous rapprochez. Lorsque vous êtes arrivé, le cercle s’illumine, et une petite mélodie vous récompense. Level completed!

En bref: Le système de navigation amusant fonctionne, mais vous devrez vous y habituer un peu.

De la lumière? Oui, de la lumière.

Le SmartHalo est équipé de deux LED blanches à l’avant. Vous pouvez les allumer manuellement en appuyant simplement deux fois sur l’écran tactile, ce qui m’est aussi arrivé par inadvertance. Pour les éteindre, répétez l’opération ou ne faites rien, car elles s’éteignent d’elles-mêmes lorsque le vélo reste immobile un certain temps. Vous réglerez leur clarté, choisirez deux modes de clignotement et passerez à un éclairage constant ou activerez l’éclairage automatique sur l’appli. En mode automatique, les LED s’allument toutes seules dans l’obscurité et s’éteignent dès qu’elles ne sont plus nécessaires ou que vous vous éloignez du vélo. J’ai pu m’y fier sans problème, et elles éclairent suffisamment pour être vu en ville. Je trouve cette fonctionnalité très bien.

En bref: l’éclairage est automatisé, vous n’avez donc pas à vous en soucier.

L’intensité de l’éclairage se règle dans l’appli.
L’intensité de l’éclairage se règle dans l’appli.

L’ALAAAAAAAAAAARRRRMMMEEEEE!!!!!

La tension monte à nouveau. Comme le SmartHalo ne peut pas simplement être retiré et volé sans la Key correspondante, je le laisse sur mon vélo. Et puisqu’il est là, il peut aussi le surveiller. Je me suis récemment abonné au système d’alarme Bordo d’Abus, un cadenas qui émet un son de 100 décibels dès que quelqu’un reste près du vélo verrouillé. Je n’en ai pas été satisfait, entre autres parce qu’il ne se désactive que lorsqu’on l’ouvre et qu’il me stresse inutilement avec ses sons d’avertissement.

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L’alarme du SmartHalo est similaire, mais elle a un avantage décisif: quand je m’approche du vélo avec l’appli activée sur mon smartphone, l’appareil me reconnaît et la désactive. Si je n’ai pas mon téléphone ou si la batterie est vide, je peux aussi la désactiver avec mon «tapcode».

Vous pouvez choisir le degré de sensibilité de l’alarme dans l’appli.
Vous pouvez choisir le degré de sensibilité de l’alarme dans l’appli.

Le tapcode est un code en morse à 5 tapes plus ou moins longues de votre choix que vous entrez sur l’écran. Si vous avez le sens du rythme, vous vous en rappellerez sûrement, mais ce n’est pas mon cas. J’ai donc rempli la «tapcode reminder card» (un morceau de carton de la taille d’une carte de crédit sur lequel j’ai inscrit mon code), que je garde sur moi. Évidemment, j’ai oublié la carte la première fois que j’ai testé cette fonctionnalité. J’ai activé l’alarme dans l’appli, fermé l’appli, puis je me suis approché avec précautions de mon vélo. Le SmartHalo a capté les mouvements et réagit par un avertissement lumineux. Des LED rouges s’allument, des sons d’avertissement se font entendre avant que l’alarme ne finisse par retentir. Et elle est vraiment puissante, tellement que j’aurais préféré partir en courant plutôt que de la supporter… et j’ai dû m’y prendre à trois fois avant de réussir enfin à entrer le tapcode. Dans la vidéo, vous verrez que j’y suis habitué. Le premier choc passé, j’ai choisi un code ultra simple et baissé le son de l’alarme pour qu’elle ne me casse plus les oreilles.

Le SmartHalo peut faire du bruit, ça on l’a compris, mais il ne peut malheureusement pas m’indiquer quand l’alarme a été déclenchée. Si vous n’êtes pas à une distance suffisante pour recevoir le signal Bluetooth ou entendre l’alarme, vous n’en saurez rien. Et si votre vélo disparaît, vous ne verrez que la localisation qui correspond à la dernière connexion de l’appareil avec l’appli. Pour utiliser l’alarme sur de longues périodes, vous devez rester connecté au SmartHalo. Si la batterie de votre smartphone se décharge, l’alarme retentit, et elle ne s’éteint que si vous entrez le tapcode. C’était quoi déjà?

En bref: l’alarme se déclenche, et elle est puissante. Elle s’éteint dès que votre smartphone se connecte au SmartHalo, mais gardez quand même votre tapcode à portée de main. Je n’activerais cette fonctionnalité que dans certaines situations, mais je la trouve bien faite.

Un moniteur d’activité physique pour les héros écolos

L’appli mesure tous les trajets et calcule la durée, la distance, la vitesse moyenne, les calories brûlées ainsi que les émissions de C02 épargnées. En fin de compte, les cyclistes sont bien plus écolos que les automobilistes, et les utilisateurs du SmartHalo devraient le percevoir. Il vous montre votre dernier parcours, les statistiques du jour et vos statistiques générales. En une semaine, j’ai fait 101 km et apparemment économisé 25,2 kg de CO2. Super! Je pourrais aussi obtenir toutes ces infos sans le SmartHalo, puisque les mouvements sont suivis par mon smartphone. Le fabricant a donc pensé à une autre fonctionnalité qui sollicite les notifications de l’appareil: la détermination d’un objectif de fitness. Je décide de rouler à une vitesse de 20 km/h. Pendant le trajet, lorsque le SmartHalo ne me donne aucune indication de navigation, le cercle de LED fonctionne comme un compteur lumineux qui m’indique si je vais assez vite ou pas. Cette fonctionnalité ludique apporte de la diversité aux parcours et utilise à fond toutes les couleurs de l’appareil.

En bref: vous n’avez pas vraiment besoin du SmartHalo pour cette option. Si vous souhaitez vraiment suivre vos objectifs de fitness en tout temps, l’appareil vous sera utile, mais ce n’est pas mon cas. Je me contente de faire des allers-retours quotidiens entre un point A et un point B.

Un compteur multicolore: si les LED rouges s’allument, ça veut dire que j’ai atteint la vitesse que je me suis fixée.
Un compteur multicolore: si les LED rouges s’allument, ça veut dire que j’ai atteint la vitesse que je me suis fixée.

Téléphoner sur mon vélo? C’est pas vraiment le moment…

Le SmartHalo peut sonner en même temps que votre téléphone. Il informe les utilisateurs d’Android des appels entrants et des messages reçus. Si vous avez un iPhone, vous devrez vous contenter des informations sur les appels entrants. Bien fait pour vous! 😉 Mais bon, qui envoie encore des SMS? Lorsque quelqu’un vous appelle pendant que vous pédalez, une lumière bleue s’allume au milieu de l’écran du SmartHalo et il émet un signal sonore dont vous pouvez régler le volume dans l’appli, ou l’éteindre. Vous ne pouvez par contre pas réceptionner d’appel depuis le SmartHalo. Ces notifications sont peut-être utiles pour certains, mais je peux très bien m’en passer. Quand je roule, je roule. Je me fiche de manquer un appel ou un message. En général, je ne passe pas plus de 20 minutes en selle, et depuis que les numéros s’affichent, invention ô combien révolutionnaire, je peux rappeler une fois que j’ai quitté la chaussée.

En bref: une fonctionnalité dont on peut se passer. Si vous êtes du genre à vouloir être joignable en tout temps, vous n’enlevez sûrement pas vos écouteurs quand vous roulez.

Résumé

Le SmartHalo est un joli gadget très bien fait dont l’achat vaut surtout la peine si vous utilisez le système de navigation, l’éclairage et l’alarme régulièrement et si vous êtes prêt à faire toujours fonctionner l’appli en arrière-plan. La connexion automatique a toujours fonctionné, à une exception près, et il m’a suffi de redémarrer l’appli pour régler le problème. Les fonctionnalités de fitness et de notification des appels et des SMS ne me sont pas utiles. Le SmartHalo n’est pas non plus vraiment intelligent puisque son cerveau, c’est votre smartphone. Mais je l’ai quand même apprécié, parce qu’il est amusant, il réunit quelques fonctionnalités pratiques et il embellit même mon vélo. Et pour une solution de navigation avec éclairage et alarme, son prix est correct. Ce joli petit cyclope est aussi performant.

SmartHalo Système de vélos (Dans le monde entier)
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SmartHalo Système de vélos

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J’ai passé de chouettes moments entre trois yeux avec ce joli objet.
J’ai passé de chouettes moments entre trois yeux avec ce joli objet.

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Écrivain amateur et père de deux enfants, j’aime être en mouvement et avancer en équilibre sur le chemin sinueux de la vie de famille. Je jongle avec plusieurs balles et il m’arrive parfois d’en faire tomber une. Il peut s’agir d’une balle, ou d’une remarque. Ou des deux. 


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