Test de produit

La Sony FX30 est ennuyeuse, mais bonne

Sony vend la nouvelle Cinema Line FX30 comme une « caméra cinéma d'entrée de gamme ». Elle est censée être bon marché tout en offrant toutes les fonctions professionnelles. Elle parvient à tenir ses promesses, mais le groupe cible devrait être restreint.

Sony a remis le couvert. La nouvelle FX30 est censée s’adresser à un autre public cible : les cinéastes ambitieux et les réalisateurs de films à petit budget qui ne veulent pas aussi faire de la photographie. Le dernier-né est la FX3 avec un capteur APS-C et coûte un peu plus de la moitié de sa grande sœur. Les fonctions et le boîtier sont pratiquement identiques.

Bonne qualité d’image fiable

Prenez un autre appareil pour prendre des photos

La FX30 peut-elle aussi prendre des photos ? Oui, s'il le faut. Les prises ont une résolution de 26 mégapixels. Il manque toutefois un obturateur mécanique ainsi qu’un viseur, et les commandes sont aussi moins intuitives en mode photo. Ainsi, il est certes possible de prendre des photos et d'obtenir des résultats utilisables, mais ce n'est pas très amusant.

Conclusion : caméra sans faiblesses à un prix modéré

Cet article plaît à 24 personne(s)


User Avatar
User Avatar

Mon empreinte digitale change régulièrement au point que mon MacBook ne la reconnaît plus. Pourquoi ? Lorsque je ne suis pas assis devant un écran ou en train de prendre des photos, je suis probablement accroché du bout des doigts au beau milieu d'une paroi rocheuse. 


Photo et vidéo
Suivez les thèmes et restez informé dans les domaines qui vous intéressent.

Test de produit

Nos expertes et experts testent les produits et leurs applications, de manière indépendante et neutre.

Tout afficher

Ces articles pourraient aussi vous intéresser

  • Test de produit

    Test du Sony RX1R III : un appareil pour le plus petit nombre

    par Samuel Buchmann

  • Test de produit

    Nikon Z5II : une entrée solide dans le plein format

    par David Lee

  • Test de produit

    Sony Alpha 9 III à l’essai : rapide comme l’éclair grâce à l’obturateur global

    par Samuel Buchmann