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par Debora Pape
L'univers de Dark Souls continue de s'étendre avec le lancement en décembre 2025 de Mother of Mourning, une série de quatre bandes dessinées mettant en scène l'ordre de chevaliers Knights of Mourning et leur quête désespérée de rédemption.
Si vous pensez que le monde de «Dark Souls» a déjà exploré tous les abîmes, vous vous trompez. Avec «Dark Souls : Mother of Mourning», Titan Comics lance une nouvelle série de bandes dessinées à partir du 3 décembre 2025, qui étend l'univers de la célèbre série de jeux vidéo. Elle a pour but de vous entraîner à nouveau dans un monde de désespoir, de folie et de désespérance.
Je ne peux malheureusement pas encore vous dire si et quand les bandes dessinées seront disponibles dans notre boutique.
Les Knights of Mourning sont au centre de cette mini-série en quatre épisodes. Cet ordre de chevaliers s'accroche à l'espoir de ressusciter une sainte momifiée appelée «Mother of Lillies». Elle est censée retrouver son âme perdue et rétablir l'équilibre du monde. Mais plus les Chevaliers s'impliquent dans ce projet, plus la frontière entre rédemption et folie devient floue.
Comme c'est souvent le cas dans Dark Souls, vous n'obtiendrez pas de réponses claires. Au lieu de cela, le doute, le désespoir et un sentiment constant de ruine imminente caractérisent l'atmosphère. Chaque cahier comportera 32 pages en couleur.
Titan Comics promet un récit classique «Grimdark». Au lieu de héros rayonnants et d'une morale claire, vous découvrirez des idéaux détruits, des personnages ambivalents et des scènes qui mettent en avant l'horreur du monde de «Dark Souls». Les fans peuvent s'attendre à de nombreux moments qu'ils connaissent déjà dans les jeux : des rebondissements inattendus, des pertes définitives et des conséquences impitoyables.
Mother of Mourning est écrit par George Mann, qui a déjà acquis de l'expérience dans l'univers de Dark Souls et a également travaillé sur des bandes dessinées Star Wars. Les dessins sombres sont réalisés par Maan House, dont le style est prédestiné à l'horreur et aux mondes sombres. La série est complétée par plusieurs variantes de couvertures, réalisées par des artistes comme Bjorn Barends et Warrick Wong.
Pour situer l'importance de cette nouvelle série, un retour en arrière s'impose. Depuis le premier jeu vidéo de 2011, «Dark Souls» est considéré comme l'incarnation de la fantasy sombre. Les jeux de FromSoftware n'ont pas seulement attiré l'attention par leur difficulté impitoyable et leur lore cryptique. Ils ont même créé un sous-genre avec le terme «Soulslike». Ce terme désigne les jeux qui vous confrontent à des combats exigeants, des courbes d'apprentissage rigoureuses et un sentiment de danger permanent.
Titan Comics accompagne la franchise depuis quelques années déjà. Des séries comme «The Breath of Andolus» (2016), «The Age of Fire» (2018) ou «The Willow King» (2024) ont abordé différentes facettes de l'univers de «Dark Souls». Certaines histoires étendent directement la lore du jeu, d'autres racontent des épisodes indépendants. «Mother of Mourning» s'inscrit dans cette lignée et met l'accent sur ses propres points forts, sans être lié à une intrigue de jeu particulière.
Les précédents «Dark Souls»-Comics de Titan Comics ont suscité des réactions mitigées. L'atmosphère sombre et les illustrations détaillées ont été particulièrement appréciées. En revanche, les fans et la presse spécialisée ont été plus critiques sur la mise en œuvre de l'histoire et des personnages.
La première mini-série «The Breath of Andolus», en particulier, a été considérée par beaucoup comme générique et trop peu liée à l'univers du jeu. De même, la narration complexe et énigmatique et l'ambiance mystique particulière des jeux vidéo ne pouvaient être transposées au format BD que dans une certaine mesure, ce qui a provoqué la désillusion de certains lecteurs.
Mes intérêts sont variés, j'aime simplement profiter de la vie. Toujours à l'affût de l'actualité dans le domaine des fléchettes, des jeux, des films et des séries.
Du nouvel iPhone à la résurrection de la mode des années 80. La rédaction fait le tri.
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