
En coulisse
Nouveautés du côté des recherches scientifiques : comment réussir une « bombe » parfaite
par Michael Restin
Le « Démineur », que vous connaissez peut-être sous le nom de « Minesweeper », fête ses 35 ans. Le secret de son succès : un simple clic chargé de risques, aussi bien dans le jeu que sur le lieu de travail.
Un quadrillage de cases grises, un champ de mines numérique. Cliquer, c’était découvrir. Les chiffres indiquaient le nombre de mines adjacentes. Celui qui pensait logiquement survivait. Celui qui se trompait perdait. C’était aussi simple que ça. Si violent. Tellement addictif.
Et une fois que vous aviez commencé, impossible de s’arrêter. Encore un clic, un autre chiffre, un dessin, et voilà que la partie suivante commençait. Le Démineur n’était pas un simple jeu à niveaux, mais un véritable état d’esprit. Il l’est d’ailleurs parfois encore aujourd’hui.
Même après 35 ans, le Démineur continue de vivre, plus silencieux que jamais, certes, mais toujours prêt à perturber votre concentration. S’il vous manque, vous le trouverez dans le Microsoft Store. Clic. Chiffre. Risque. Et parfois : boum !
Le baiser quotidien de la muse stimule ma créativité. Si elle m’oublie, j’essaie de retrouver ma créativité en rêvant pour faire en sorte que mes rêves dévorent ma vie afin que la vie ne dévore mes rêves.
Des informations intéressantes sur le monde des produits, un aperçu des coulisses des fabricants et des portraits de personnalités intéressantes.
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Celui qui jouait au Démineur ne jouait pas seulement contre la grille, mais aussi contre la montre, contre sa conscience et contre son chef. Chaque clic était un risque. Le risque de perdre et celui d’être surpris par le patron. C’est pourquoi les doigts de la main gauche restaient toujours sur Alt+Tab, prêts à faire disparaître le jeu au profit d’un document Excel fictif, jamais sauvegardé. Le Démineur n’était pas qu’un jeu. Il se reflétait dans la réalité : à tout instant, la bombe pouvait exploser et faire voler la couverture en éclats.