Le meilleur des mondes

Un chef-d'œuvre dans la langue de notre époque : sur la société idéale, le lavage de cerveau et le bonheur par les drogues. En 1932, l'une des plus grandes utopies du 20e siècle a été publiée. Ici, le bonheur est administré comme une drogue. Le sexe et la consommation balaient toutes les préoccupations. Les usines de reproduction ont résolu le problème de la procréation. C'est le meilleur des mondes, une société idéale - jusqu'à ce que quelqu'un regarde derrière le rideau : l'Alpha Bernard Marx, poussé par un désir de liberté, visite l'une des rares réserves où l'ancienne vie imparfaite est encore vécue. Cela pourrait le guérir de son malaise - ou pas. Une histoire prophétique d'une actualité persistante, traduite par Uda Strätling et lue par Matthias Brandt. (6 CD, durée : environ 8h 2).