Werde ich morgen weinen?

Qui avorte n'oublie pas demain. L'avortement est une expérience de mort et c'est une expérience de chagrin. La fausse couche ou la mort d'un enfant représentent pour les parents une perte catastrophique. Il est irresponsable de ne pas faire prendre conscience aux femmes qui envisagent l'avortement qu'elles vont subir la même souffrance. Pire encore, puisqu'elles ont elles-mêmes pris la décision d'avorter. Et lorsque les femmes ressentent alors leur perte, elles ne s'autorisent pas à pleurer, car elles ont choisi ce pas. Pourtant, elles ont besoin de leur chagrin - elles en ont désespérément besoin. En tant que personne concernée, l'auteure Dr. Susan Stanford offre des aides précieuses à tous ceux qui souhaitent apporter un soutien spirituel. Elle montre aux femmes un chemin vers la guérison, qui va plus en profondeur que tout autre. Un livre important, car la deuxième victime de l'avortement est la femme.