Selbstorganisierte Titandioxid-Nanoröhren

La condition préalable à l'intégration des implants est la réaction positive avec les tissus environnants. Dans la pratique, des rugosités de surface à l'échelle micrométrique se sont révélées très prometteuses. Dans ce travail, nous examinons l'influence des structures de surface à l'échelle nanométrique in vitro et in vivo, en partant du titane, l'un des matériaux d'implantation les plus courants. Nous décrivons fondamentalement la génération anodique et l'optimisation de couches de nanotubes de TiO2 de différents diamètres avec une haute résolution latérale dans la plage de 15 à 100 nm. Les résultats montrent clairement que les structures de surface à l'échelle nanométrique dans la plage de 15 à 100 nm ont une influence dominante sur l'adhésion, la prolifération, la différenciation et la migration des cellules. Parmi les cellules étudiées figurent notamment les cellules souches mésenchymateuses, les cellules souches hématopoïétiques, les ostéoblastes, les ostéoclastes et les cellules endothéliales.