Meines Grossvaters Geige

Matthias Brandis raconte l'histoire de la vie de deux familles juives de Hambourg sur une période de 200 ans. Yoel Wolf (plus tard Immanuel Wohlwill) a reçu une éducation libérale dans son enfance à l'école progressiste Jacobson de Seesen - une attitude fondamentale qu'il a transmise à ses propres cinq enfants et qui s'est poursuivie dans les générations suivantes. Cela a conduit à une acculturation de tous les membres de la famille, avec des professions et des positions très diverses dans les domaines de la pédagogie, des sciences, de l'économie et de la culture. À partir de 1933, les structures familiales ont été déchirées et la majorité d'entre elles ont fui vers différents pays dans le monde entier. Peu d'entre eux ont réussi à survivre en Allemagne. Cinq membres ont été déportés au camp de concentration de Theresienstadt. Une seule a survécu à ce camp et est décédée en 1948 des suites de sa détention.