Die Inseln über dem Winde

Pendant un été, Lafcadio Hearn passe d'île en île en tant que passager d'un bateau à vapeur dans les Petites Antilles. De retour à New York, il transforme ses notes en un récit de voyage d'une sensualité exotique, en une peinture verbale d'une intense luminosité. Avec une intuition frappante pour les couleurs, les formes et les odeurs, avec la curiosité émerveillée de l'amoureux et le regard précis du journaliste, il tente de saisir par le langage le moindre détail. Il s'enthousiasme encore et toujours à décrire les différences les plus infimes dans le paysage et la vie quotidienne sous les tropiques. Il ne perd jamais de vue les conditions sociales, les gens et leurs particularités, leurs habitudes et leurs coutumes : C'est un monde en plein déclin après une longue et douloureuse histoire de bouleversements coloniaux. Hearn veut préserver ce qu'il voit, car il sait que.