Leb wohl, meine Königin!

Vienne, 1810. 20 ans après la Révolution française, quelques survivants se retrouvent dans la capitale autrichienne dévastée par Napoléon pour commémorer le temps passé à la cour de Versailles. Agathe-Sidonie Laborde, lectrice de Marie-Antoinette, se souvient de ses derniers moments en compagnie de la reine, peu après la prise de la Bastille : "Ce sont des moments de bonheur qui se brisent. Heure après heure, il apparaît que la révolution ne peut plus être arrêtée. Les amis les plus proches quittent la famille royale et les plans de fuite de la reine échouent également. A la fin, Agathe-Sidonie a à peine le temps de dire un dernier adieu.