In feiner Gesellschaft

Dulcie Mainwaring est toujours prête à aider les autres, mais elle ne s'occupe guère de ses propres besoins. Elle endure en silence le désespoir causé par le départ peu glorieux de son fiancé et garde, comme à son habitude, son calme. Seule la perspective d'assister à une conférence scientifique illumine l'esprit de Dulcie. En effet, peut-on imaginer une meilleure distraction que de se retrouver entourée d'un groupe d'anciens universitaires dont les discussions tournent autour de subtilités scientifiques ? Lors de la conférence, elle fait la connaissance non seulement de la femme fatale Viola Stint, mais aussi de son coup de cœur, Aylwin Forbes. Cet éditeur d'une revue littéraire est extrêmement séduisant, mais c'est un vantard. Il est égoïste, peu fiable – et irrésistible. Il en résulte que Dulcie commence à poursuivre ce charmant académicien. Mais trois, c'est déjà trop ; et l'arrivée de la nièce de Dulcie, Laurel, âgée de dix-huit ans, complique encore la situation – car c'est justement Laurel qui attire l'attention d'Aylwin.