Die Smartphone-Epidemie

Le smartphone a profondément changé la vie de cinq milliards de personnes sur cette planète au cours des dernières années. Beaucoup ne voient que les aspects positifs, tandis que peu se préoccupent des conséquences négatives sur notre pensée, nos émotions et nos actions. Les smartphones nuisent à la santé, à l'éducation et à la société dans son ensemble. Il est grand temps de faire face à l'engouement avec des faits. Quand allons-nous enfin nous réveiller ? Au cours des dix dernières années, le smartphone a conquis le monde à une vitesse incroyable et a transformé le quotidien de ses quatre milliards d'utilisateurs comme aucune innovation technologique auparavant. Du matin au soir, au travail et dans la vie privée : sans smartphone, il semble que rien ne fonctionne plus. Même les investisseurs et les entrepreneurs commencent à s'inquiéter des conséquences sur la santé. Le PDG d'Apple recommande de ne pas utiliser les smartphones dans les écoles, le président français les y interdit complètement, et la Corée du Sud a depuis des années des lois pour protéger la jeunesse des pires effets de l'utilisation des téléphones portables. Les smartphones nuisent à la santé, à l'éducation et à la société dans son ensemble. Quand allons-nous enfin nous réveiller ?

« Spitzer est un psychiatre accessible. Il ressent une mission. Il ne se considère pas seulement comme un scientifique, mais avant tout comme un médecin qui veut aider. »

« Spitzer a une préoccupation. Il veut préserver l'humanité de l'abrutissement qui lui menace inévitablement à cause des ordinateurs, des téléphones portables, de la télévision ainsi que du GPS dans la voiture, et qui est alimenté par des dealers numériques partout dans le monde. »

« Le psychiatre et chercheur en neurosciences d'Ulm, Manfred Spitzer, veut avant tout secouer les consciences et faire comprendre à quel point la vie numérisée est nuisible et malsaine. »

« Spitzer est un scientifique-animateur qui puise dans sa propre expérience. Il tire la sonnette d'alarme uniquement parce qu'il veut que ses découvertes soient entendues dans les salles de classe, chez les enseignants et dans les bureaux des ministres. ».