dea ex machina

Allemand, Shulamith Firestone, Jennifer Sophia Theodor, Laboria Cuboniks, Stephan Geene, Helen Hester, 2015
Livré entre jeu, 15/5 et mer, 21/5
Plus que 3 pièces en stock chez le fournisseur tiers
Offre de

Informations sur le produit

'Bien que les deux soient liés dans une danse rituelle, je préférerais être un cyborg qu'une déesse' - Donna Haraway, 1995. Parmi les nombreuses critiques suscitées par le Manifeste pour une politique accélérationniste (Williams/Srnicek), la dénonciation du projet comme une expression d'un technonihilisme machiste apparaît particulièrement malveillante. En effet, ces débats, qui souhaitent faire de l'accélérationnisme un futurisme du XXIe siècle, puisent principalement dans une virilité brutale et la rapidité des machines, négligent d'une part son potentiel pour la politique de genre actuelle et d'autre part son lien avec la pensée technoféministe existante. Dea ex machina tente de ramener certaines des généalogies refoulées qui éclairent le projet accélérationniste dans le contexte de 50 ans de théorie féministe hétérogène sur le genre et la technologie. Le texte central du livre est un manifeste du collectif Laboria Cuboniks, enrichi de voix technoféministes canoniques sélectionnées. Avec des contributions de : Rosi Braidotti : Cyberféminisme avec une différence, Laboria Cuboniks : Manifeste Xenoféminisme, Shulamith Firestone : Féminisme et écologie, Donna Haraway : Femaleman rencontre Oncomouse, Nina Power : Femmes-machines : Vers l'avenir de la musique noise féminine, Paul B. Preciado : Extrait de Testo Junkie, Alexandra Pirici & Raluca Voinea : Un manifeste pour le Gynozène, Lisa Nakamura : Racisme, sexisme et l'optimisme cruel dans le gaming.

30 jours de droit de retour si non ouvertConditions de retour
24 mois Garantie (Bring-in)Conditions de garantie

Comparer les produits

Convient

Critiques et opinions