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par Martin Jungfer
Makita VC4210M : l’aspirateur pour le gros œuvre
10/8/2023
En octobre, avec une voiture solaire, des étudiants de l’EPF veulent participer à la plus grande course de voitures solaires en Australie. Afin de pouvoir rouler le plus efficacement possible dans l’outback, un châssis en carbone aérodynamique est découpé et monté. Un outil important : l’aspirateur industriel Makita.
L’aspirateur industriel de Makita est le compagnon permanent de l’équipe aCentauri qui construit une voiture solaire. En effet, avec tout ce qu’ils ont à scier, poncer et percer, cela en fait le candidat idéal pour découvrir si le design de l’aspirateur tient ses promesses.
La voiture de course d’aCentauri était encore très anguleuse lors de notre dernière visite. Le test de conduite sur l’aérodrome de Dübendorf est réussi, il s’agit maintenant d’améliorer l’aérodynamique avec un carénage en carbone.
Avec ou sans sac
N’aspire que lorsqu’il le faut
Ce qui est moins bien, c’est que le câble ne s’enroule pas automatiquement, comme c’est le cas pour les aspirateurs à usage domestique. « Ce n’est pas tragique puisqu’il y a un support à l’arrière et nous enroulons le câble à la main », dit Burkhard.
L’équipe est partagée sur le nettoyage automatique des filtres. « Nous avons d’abord pensé que l’aspirateur était défectueux, car il s’arrêtait de temps en temps. Nous avons alors réalisé que c’était le nettoyage automatique du filtre qui frappait le filtre », s’amuse Jent Imelman. « Mais nous pouvons vivre avec cela. L’alternative serait un filtre bouché. » Seul le bruit de frappe demande un temps d’adaptation, ajoute Pascal Burkhard.
Conclusion : sophistiqué et efficace
L’aspirateur Makita est extrêmement efficace et filtre parfaitement lorsqu’on utilise un sac. Très pratique : la prise de courant sur l’aspirateur. Ainsi, l’aspirateur ne fonctionne que lorsque l’outil est également utilisé. Le nettoyage automatique du filtre permet d’éviter qu’il ne se bouche. Il faut s’habituer au bruit de frappe et au fait qu’il s’éteigne partiellement, mais c’est une nécessité.
Photo d’en-tête : aCentauri
Simon Balissat
Teamleader Editorial
Simon.Balissat@digitecgalaxus.chLorsque j’ai quitté le cocon familial il y a plus de 15 ans, je n’ai pas eu d’autre choix que de me mettre à cuisiner pour moi. Cela dit, il ne m’aura pas fallu longtemps avant que cette nécessité devienne une vertu. Depuis, dégainer la cuillère en bois fait partie intégrante de mon quotidien. Je suis un vrai gastronome et dévore tout, du sandwich sur le pouce au plat digne d’un restaurant étoilé. Seul bémol: je mange beaucoup trop vite.
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