Test de produit
« Dr. Dry » de Dynamic Bike Care : un remède miracle ou une arnaque ?
par Patrick Bardelli
Lessive pratique et durable avec les feuilles de détergent « bluu »
31/3/2021
Traduction : Sophie Boissonneau
Ils comptent révolutionner le lavage et bannir le plastique de la buanderie avec « bluu », leurs feuilles de lessive. Cela semble trop beau pour être vrai. Mais leur succès donne raison aux Zurichois Roman Stämpfli et Marko Vidmar.
Les deux fondateurs Roman Stämpfli et Marko Vidmar avaient conscience de lancer un produit vraiment utile. Ils ont donc décidé de quitter chacun leur emploi en pleine pandémie pour mettre tous leurs œufs dans le même panier et lancer « bluu ».
D'où vous vient l'idée de ces feuilles de lessive ?
Roman : sur notre site, on trouve une version un peu enjolivée bien sûr. Nous n'avons pas réinventé la roue. Il existe déjà un produit similaire au Canada, je l'ai découvert sur Instagram. Nous n'avions rien de tel en Europe, je n'ai donc pas pu en commander. Je les avais oubliées, jusqu'à l'arrivée du coronavirus.
Vous produisez désormais des feuilles de lessive en Suisse ?
Quand voulez-vous commencer la production ici ?
Roman : nous ne pouvons pas encore le dire concrètement, mais nous espérons d'ici la fin de l'année.
Pouvez-vous déjà en vivre ?
Marko : non. Malgré une forte demande dès le lancement, cela ne suffit pas encore, mais nous sommes sur la bonne voie et pourrons bientôt verser les premiers salaires. Nous investissons aussi beaucoup dans l'entreprise, surtout beaucoup de notre temps.
Où peut-on acheter vos produits, à part sur Galaxus ?
Marko : principalement sur notre boutique en ligne, mais aussi dans des magasins zéro déchet, des boutiques de mode et chez des commerçants en ligne qui s'engagent pour le durable.
Quels sont les retours de vos clients ?
Marko : presque uniquement des réactions enthousiastes. Côté performances de lavage, nos feuilles de lessive rivalisent sans problème avec les détergents classiques. Pour les taches tenaces, nous recommandons de les frotter avec un pain de savon avant le lavage en machine. En revanche, le parfum de la lessive divise.
Simon Balissat
Teamleader Editorial
Simon.Balissat@digitecgalaxus.chLorsque j’ai quitté le cocon familial il y a plus de 15 ans, je n’ai pas eu d’autre choix que de me mettre à cuisiner pour moi. Cela dit, il ne m’aura pas fallu longtemps avant que cette nécessité devienne une vertu. Depuis, dégainer la cuillère en bois fait partie intégrante de mon quotidien. Je suis un vrai gastronome et dévore tout, du sandwich sur le pouce au plat digne d’un restaurant étoilé. Seul bémol: je mange beaucoup trop vite.
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